Peccadilles

Les rues de Delhi sont majoritairement occupees par les hommes. Troublante impression d'une population quasi exclusivement masculine.
Dans les quartiers populaires que l'on a pu voir, les rares femmes que l'on a croisees sont aux abords des rues en retrait de l'activite de la ville, excepte les mendiantes qui elles sont des actrices tres presentes de la cite.
De meme dans les hotels ou l'on a sejourne, nous n'avons ete en contact qu'avec des hommes. Ici a Bhubaneswar, les femmes relegues au menage s'ecartent et s'eclipsent en notre presence.
Dans les rues de Delhi, les multiples 2 roues sont quasiment conduits que par des hommes; quelques fois a l'arriere en tant que passageres , les femmes, jamais a califourchon^[1] sont toujours sans casque. Dans une ville ou l'anarchique circulation cause des morts et blesses quotidiennement, cette inconscience est troublante.
Les geste de tendresse envers la gente feminine sont inexistants, excepte envers les enfants. Cette reserve est d'autant plus ettonante car les contact entre hommes sont parfois tres marques (tenu par la taille ou la main, embrassade,...). Ces contacts physiques ne marquent qu'une amitie dans ce pays ou l'homosexualite est tabou et punie de prison a vie.
En revanche a Connaught Place, quartier moins populaire, les femmes, quelques fois habille a l'occidentale, sont nettement plus presentes bien que rarement seules.