• Echec des politiciens depuis 30 ans à éviter l'exclusion de certains de ses citoyens.
  • Echec de la société à entendre les signaux d'alerte des habitants des quartiers, des acteurs sociaux et associatifs.
  • Echec de Nicolas Sarkozy qui en tant que responsable politique n'a pas su apaiser mais à réussi à provoquer.
  • Echec des fauteurs de troubles actuels d'utiliser d'injustes manières pour parfois de justes colères.
  • Echec de la police qui parfois oublie de protéger tout les citoyens.

La liste des échecs pourrait continuer longtemps. Le dernier en date, c'est lorsqu'une société vise à masquer les symptômes les plus manifestes d'une crise, dont elle est en partie responsable, par un état d'urgence. Réactualisant un triste outil politique de la guerre d'Algérie, la France oublie qu'état d'urgence a souvent été synonyme dans l'Histoire de dérives encouragés des forces de l'ordre et de justice expéditive.

Enfin, tout va pas si mal: le CAC40 a augmenté de 4% la semaine dernière.