Tranquille dans un café parisien, je lisais avec quelques jours de retard mon journal. En l'occurrence, Le Monde daté du 11 novembre.

J'en étais à la rituelle page en l'honneur de Nicolas Sarkozy. En vrac, un article sur les propositions de L'UMP et de son chef, un autre article sur la dispute de l'héritage gaulliste entre JC et NS, un article sur les déclarations de Nicolas Sarkozy sur les bienfaits de la mondialisation, un autre article sur la volonté de Nicolas Sarkozy de conserver la présidence de l'UMP en cas de victoire aux présidentielles et pour finir un article sur les déclarations des proches de Nicolas Sarkozy sur les soi-disants problèmes d'obtention de signatures pour le FN.

Bref, le classique bourrage de crâne qui me conforte d'acheter de plus en plus épisodiquement cette soupe lobotimisante.

Mais dans ce dernier article (les problèmes du FN), il y a une citation de Patrick Devedjian, proche conseillé de NS. Je vous la livre brut de fonderie:
"ce qui n'est pas bon pour la démocratie, n'est pas forcement mauvais pour Sarkozy"

A bon entendeur.