Décidément cette sombre histoire n'en finit plus. Pendant que le Clémenceau attend d'être désamianté, le gérant de Technopure, Jean-Claude Giannino a été mise en examen et écroué (libéré sous caution depuis) pour "faux, usage de faux en récidive et corruption". Technopure est la société ayant partiellement désamianté le Clémenceau mais cette intervention aurait été sur-facturé de plus de 600 000 euros. Parmi les autres mise en examen on trouve du beau monde comme un membre du conseil municipal d'Aix en Provence.

Parallèlement, une autre procédure judiciaire est toujours en cours à la demande de Michèle Alliot-Marie, à l'époque ministre de la Défense, concernant un écart de 30 tonnes d'amiante déclaré retirées par Technopure mais toujours présent sur le bâtiment. En revanche des éléments non amianté auraient disparu...

Sources:
-Nouvel observateur
-Le Monde
-Le Monde